Faut-il, pour faire évoluer le paysage médiatique suisse, lui appliquer la politique de la terre brûlée ? C’est la proposition de l’initiative dite « No Billag », sur laquelle nous voterons en mars prochain. Car il ne faut pas s’y méprendre : s'il est approuvé, ce texte aura sur l’information audiovisuelle de notre pays le même effet que les hordes d’Attila sur les steppes qu’elles traversaient. L’initiative ne propose rien d’autre qu’un champ de ruines.
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« No Billag », des ruines pour tout projet
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L’ambition est aussi une condition cadre
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Fanny Oberson Gross
Responsable Communication et RH